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Voici la musique qui m'a donné un peu de mal à trouver les bonnes notes en espérant qu'elles soient bonnes

Pour la petite histoire :
"Cette chanson raconte l’histoire d’une vedette sans jamais donner son son.
Au cours d’un dîner, le célèbre impresario Eddy Marouani raconte à Serge Lama sa grande admiration pour l’actrice Marlène Dietrich (1901/1992) dont il s’est occupé. Serge Lama est fasciné et décide d’en faire une chanson.
Marlène Dietrich n’a écouté qu’une seule fois cette chanson et s’est mise à pleurer à chaudes larmes, visiblement très émue par ce texte."
La musique est d'Alice Donna.

La mélodie ne m'est pas inconnue. Il ne me semble pas avoir ouïe de fausse note.
Rien à dire, c'est très bien joué, bravo Patrice.

Hello,

Je connais cette chanson, et qu'importe si toutes les notes y sont ou en plus ou en moins!
Ta façon de la jouer est vraiment en accord avec le texte et son ressenti...
Un Grand bravo!!

Daniel

yvan02 a écrit : ↑01 juin 2022 20:17 Il ne me semble pas avoir ouïe de fausse note.

Le chef ne fait pas de fausse note!

Globalement, l'interprétation est très bonne. Il n'y a juste que l'attaque de la première phrase que sur le coup je n'ai pas reconnue.
Mais lorsque l'on explore les différentes versions (la VO tout comme les Live en salle), cette chanson avant tout à texte n'est pas toujours chantée à l'identique, en particulier justement sur le début du couplet d'intro en tonalité mineure. C'est surtout en Live qu'il arrive que Serge Lama parle plutôt que chante sur l'un des refrains. Donc inutile de chipoter.
Par contre, Patrice, j'aimerais savoir quel passage te posais problème pour l'identification de la mélodie.

Très bonne interprétation .
Pour la vidéo avec les paroles de la chanson .
Bonne journée .Amitié . Geo .

Beaucoup de délicatesse et de nuances dans cette interprétation...

La vidéo met bien en valeur le sentiment de profonde nostalgie exprimé par la belle mélodie.

André

Claude, justement les première notes m'ont posé problème. Serge Lama, la version que je me suis servi pour apprendre cette musique, ne chantant pas comme j'avais pu lire sur la partition et comme la chante Alice donna qui a tout de même composé la musique. Bref, j'ai tranché pour la partition. Ensuite, j'ai l'habitude quand j'apprends une musique d'oreille de suivre la chanson avec un petit retard et les petits sauts de notes ou je butais sont à 0.28, 0.35, 0.40 mn. par exemple. Bon après, c'est normal, comme je ne connaissais que très vaguement, une fois que mon petit cerveau a enregistré, ça passe tout seul.

Merci pour vos commentaires.

Merci pour ton explication.
Comme je l'évoquais, c'est le type même de chanson à texte, qui plus est avec un certain débit de parole, qui est sujet à des variations de jeu, même par l'auteur lui-même (ou elle-même) au fur et à mesure des interprétations au fil du temps. En particulier lors des concerts en Live.
Donc à un moment, il faut faire un choix.
(parfois j'intègre ces différences lors des reprises au sein d'une même chanson ; comme je l'avais fait par exemple pour "the sun died" en alternant les phrasés de Nicoletta et de Ray Charles).

J'ai reconnu la mélodie dès le refrain, et la mention de Serge Lama comme auteur m'en a donné la confirmation, mais je ne savais pas son historique et qui l'avait inspiré, merci beaucoup pour le rappel de cette anecdote, et aussi pour les paroles que je ne connaissais pas, à part les mots du titre
Un grand bravo pour l'interprétation, pleine de sensibilité !

Dany.

Patrice, très belle interprétation d'une chanson à texte et je rejoins Claude pour l'analyse... étonnant, non ?

Je comprends que ce thème t'ai donné un peu de fil à retordre, mais j'avais toute confiance pour que tu sortes une petites merveille d'émotion.
Et oui, je suis d'accord, le boss ne fait pas de fausse notes

C'est sympa, merci à tous

Je ne connaissais pas, merci pour la découverte.
Interprétation d'autant plus méritante que le morceau se prête assez difficilement à une reprise instrumentale.
Un grand bravo d'avoir réussi à en faire quelque chose d'agréable à écouter.

Beaucoup d'expressivité dans cette interprétation.
C'est indispensable dans une chanson à texte, mais encore faut-il y arriver !
Patrice y est d'autant plus aisément (pour lui) parvenu que ... c'est une valse !!!

Benoît.