Présentation
Publié : 14 févr. 2012 17:57
Bonjour à tous,
Je m’appelle Bruno Rouillé, harmoniciste de tout ce qui ressemble de près ou de loin à un harmonica, sauf de ce qui ne se fabrique plus ou qui dépasse un certain nombre d’euro, au risque de paraitre trivial. J’ai commencé au diatonique trémolo à 12 ans et, à 18 ans lorsque j’ai découvert le blues et la pop, continué presqu’ exclusivement au diatonique bien que le chromatique m’ait toujours très intéressé. C’est en 2000 que j’ai commencé à pratiquer régulièrement le chromatique dans la classe de jazz du CNR de Nantes. Puis en 2007, lorsqu’un guitariste classique (Cyrille Simon) m’a proposé de monter « L’Histoire du Tango » de Piazzolla, j’ai presqu’abandonné le diatonique, en regard tu travail titanesque qu’à constitué la mise au point de cette suite composée à l’origine pour la flûte ( et la guitare). Depuis quelques années je me partage à nouveau entre le chroma et le diato. Mais j’ai aussi adopté la basse (merci « Les Amis de l’Harmonica » de Basse Goulaine) et l’utilise comme telle en duo ou en trio guitare/ percu’s (surtout chanson française) sur demande des autres musiciens fascinés par l’instrument. A part ça que dire encore si ce n’est que je dois être le seul musicien de Nantes à me rendre à mes concerts à vélo, n’ayant jamais été un adepte forcené des ampli et autres effets subliminaux quand je peux m’en passer… Et merci de m’accueillir.
Je m’appelle Bruno Rouillé, harmoniciste de tout ce qui ressemble de près ou de loin à un harmonica, sauf de ce qui ne se fabrique plus ou qui dépasse un certain nombre d’euro, au risque de paraitre trivial. J’ai commencé au diatonique trémolo à 12 ans et, à 18 ans lorsque j’ai découvert le blues et la pop, continué presqu’ exclusivement au diatonique bien que le chromatique m’ait toujours très intéressé. C’est en 2000 que j’ai commencé à pratiquer régulièrement le chromatique dans la classe de jazz du CNR de Nantes. Puis en 2007, lorsqu’un guitariste classique (Cyrille Simon) m’a proposé de monter « L’Histoire du Tango » de Piazzolla, j’ai presqu’abandonné le diatonique, en regard tu travail titanesque qu’à constitué la mise au point de cette suite composée à l’origine pour la flûte ( et la guitare). Depuis quelques années je me partage à nouveau entre le chroma et le diato. Mais j’ai aussi adopté la basse (merci « Les Amis de l’Harmonica » de Basse Goulaine) et l’utilise comme telle en duo ou en trio guitare/ percu’s (surtout chanson française) sur demande des autres musiciens fascinés par l’instrument. A part ça que dire encore si ce n’est que je dois être le seul musicien de Nantes à me rendre à mes concerts à vélo, n’ayant jamais été un adepte forcené des ampli et autres effets subliminaux quand je peux m’en passer… Et merci de m’accueillir.