Conclusion : à mon grand regret, je suis condamnée à rester branchée jour et nuit sur des appareils à oxygène si je veux pouvoir vivre encore quelques années... mais plus question d'harmonica dans ces conditions, hélas !!! - je n'ai d'ailleurs pas essayé de jouer quoi que ce soit, même quand je lâche un peu le "tuyau d'arrosage" de mon nez, surtout au moment des repas (sinon, je ne sens pas le goût de ce que j'avale...), et c'est "ma plus grande punition" comme disait mon prof peu de temps avant sa mort.
Alors voilà, je continuerai à vous écouter et vous applaudir (ou vous critiquer, mais c'est rare), quant à vous, vous ne pourrez plus me reprocher des décalages, sauf si je vous poste quelques vieilleries enregistrées depuis longtemps...
Ne vous inquiétez cependant pas pour mon moral, du moment que je comprends la motivation exacte de l'oxygénation obligatoire, je me sens capable de la supporter beaucoup mieux, avec plus de patience - et pourtant, la patience n'est pas mon fort ! -
Toutes mes amitiés aux un(e)s et aux autres,
votre amie Dany.
et au plaisir de te lire.
André pour ton message chaleureux, je suis contente que mon poème te plaise. Je n'ai pas encore de retour des autres copains, mais tous ne sont pas forcément sensibles à la poésie ; moi-même, je m'y suis mise sur le tard (à partir de 1992) alors que c'est habituellement une activité d'adolescente... En fait, je connaissais un monsieur âgé qui écrivait beaucoup, notamment des poésies (sans avoir jamais été publié), nous nous étions liés d'amitié et c'est à partir du moment où il est décédé que je me suis mise à "versifier" comme s'il m'avait inspirée depuis son au-delà... Etrange, non ?
